Attentats terroristes à Paris en 2024:
| Mise à jour : Samedi 2 décembre 2023 / Attaque à Paris : un jeune touriste allemand tué, un britannique blessé. Nous estimons que notre sécurité n’est plus réellement assurée dans les rues de Paris en raison de l’incompétence de notre gouvernement, particulièrement en matière de sécurité. Nous déconseillons aux touristes de se rendre à Paris. La démission du ministre de l’Intérieur est vivement demandée. |
Attaques terroristes à Paris en 2024 :
La menace terroriste sur le sol français est importante, selon les autorités, en raison des craintes du débordement du conflit Israël-Palestine dans le pays.
La population Française comporte une très grande communauté musulmane, qui est MAJORITAIREMENT entièrement pacifique et bienveillante. Nous ne ressentons pas quotidiennement la crainte de la ‘menace terroriste’, souvent entretenue par les médias pour maintenir les citoyens dans une peur constante. Cependant, d’autres sources d’inconfort et d’insécurité existent dans les rues et sont perçues au quotidien par les résidents, malgré la présence parfois insuffisante ou excessive de la police dans certaines zones, mal gérée également. Ces policiers sont massivement concentrés en certains endroits, pourtant aucune patrouille n’est visible dans les rues. Vous trouverez de nombreux exemples et articles connexes sur le site.
Ce qui est plus frustrant, ce sont les mesures de sécurité totalement inutiles destinées à lutter contre d’éventuels terroristes, parfois composées de ruban adhésif et de panneaux imprimés au jet d’encre. La pseudo-vigilance démonstrative entraîne souvent de longues files d’attente devant les monuments et les musées. Vous devrez probablement attendre longtemps pour pénétrer dans les sites des Jeux olympiques de 2024 et devrez prévoir d’arriver plusieurs heures à l’avance pour ne pas manquer votre spectacle.
Paris est considéré comme une ville dangereuse par de nombreux magasines :
https://www.aufeminin.com/news-societe/voici-la-ville-la-plus-dangereuse-de-france-selon-une-etude-s4069490.html
